Dès 1954, Osvaldo Borsani décide de développer technologiquement le potentiel de la chaise longue classique, déjà proposée par les architectes les plus célèbres du Mouvement moderne, en essayant d'aller au-delà du « fauteuil de repos » classique, fixe et encombrant. Le résultat est un fauteuil aux dimensions plus réduites mais qui, grâce à un système d'inclinaison à éventail, peut accueillir le corps des positions les plus étendues jusqu'à se fermer complètement, dans un grand nombre de positions. Edité par
Tecno, le
P40 est ainsi un fauteuil de relaxation à éléments mobiles, composé d'un piédestal métallique qui supporte l'assise et le dossier axés de manière à permettre toutes les inclinaisons, un élément rabattable sous le siège complète le plan d'appui, un repose-pied coulissant en métal et des accoudoirs en acier et caoutchouc.